Travaux publics & Construction
Formée par des entrepreneurs pour reprendre leurs affaires, j’ai commencé autour de Melun à travailler avec les promoteurs de nouveaux quartiers d’habitation.

Une progression rapide

Building Construction
J’arrive dans le secteur de la construction par les travaux publics et les matériaux. Rapidement j’ajoute aux fonderies, carrières et briquetteries que j’ai reçues en donation des méthodes pour approvisionner de façon sûre l’industrie du bâtiment en métaux (dont aluminium et fonte, puis pour les toits « en zinc » et en tuiles du futur Grand Paris) et en verre Sécurit. J’achète des grues, des fabricants d’engins de chantier, de signalisation de chantier, d’échafaudages…etc.

Foundation Work
Acquisition de carrières et de mines à l’étranger pour soutenir les besoins en matériaux. Gestion moderne et sécuritaire des méthodes et approvisionnements sur les chantiers sont mes mantras. Je travaille aussi avec les géomètres pour améliorer les préparatifs tout en rationalisant les frais.

Tear-downs & Haul-offs
Acquisition et réception de parcs d’engins pour les chantiers.

Site Management
Amélioration des normes de sécurité, du management du personnel et de son équipement individuel. J’obtiens assez vite un train de mesures réglementaires pour la sécurité du travail sur les chantiers, et je fais en sorte que le personnel et le matériel puisse travailler en toute sécurité (casques améliorés et équipements individuels, accès sécurisé, salles de repos et de vie, gardiennage, affichages extérieurs suffisants).
Immobilier (transaction et gestion)
En parallèle des chantiers, mes mentors organisent de me faire accompagner deux grands noms locaux de l’immobilier: Massimo (Fontainebleau) et Monsieur Fontenoy (Avon 77). Ce sera par Monsieur Fontenoy que j’obtiendrai plus tard ma première garantie bancaire pour démarrer mon agence immobilière, garantie faite à la Loyd’s (et qui sera « reprise » par Paul de Corcelle (le frère de Bernadette Chirac).
Vers les assurances
La recherche de rationalisation des frais liés aux assurances me conduisent à positionner notre groupe d’entreprises sur l’engagement décennal (ce qui n’est pas encore une obligation à l’époque).
De plus je commence à organiser des négociations collectives avec nos assureurs en vue d’améliorer les prestations offertes aux personnels à indemniser. La forte baisse de notre sinistralité m’ouvre des portes intriguées par mes méthodes de management de chantier…
No Project Too Big Or Too Small
En 10 ans nous avons pu cadencer des projets de construction de toute taille, rassemblant uniquement des entreprises de grande qualité d’exécution, et remplir leurs carnets de commandes pour + de 30 ans. Et ce en planifiant la gestion des ressources (force de travail, équipements et véhicules hors gabarit et matériaux issus globalement de mes ressources extractives) nécessaires à la tenue des délais et des budgets.
L’une des premières Intelligences Artificielles dédiée à une industrie à été développée par une équipe de 3 personnes (dont j’étais) pour la partie industrie de la construction. Le rôle de cette IA précurseure au début des années 1980 a été de permettre le déroulé logique et logistique de toutes les phases de chaque chantier en intégrant la préparation demandée à tous les intervenants… Avec un programme par vagues induites (prenant même en compte les délais de commercialisation des biens construits) pour permettre de suivre les approvisionnements, les parcs d’engins, le personnel qualifié, et le financement (éventuellement pour permettre de fonctionner en auto-financement).
Years Established
Completed Projects worldwide
Les projets ont donné naissance à nos villes telles que nous les connaissons aujourd’hui en région parisienne… ce sont 42 ans de travail et des espaces pensés pour bien y vivre qui peuvent rendre fiers tous ceux qui y ont investi leurs forces.
AGRO-ALIMENTAIRE
On m’a donné l’opportunité de vivre ma passion du marketing en participant au développement de la grande distribution, de galeries commerciales, de marques et de nouveaux produits.
Prêt-à-porter
et chaussure
Compte tenu des oppositions et des manoeuvres malveillantes, j’ai gardé la plus grande discrétion sur mes investissements dans le prêt-à-porter et la chaussure.
Certains en ont semble-t-il tiré avantage en cherchant à nier que c’est moi et non l’équipe ZARA qui a créé IndiTex, ou plutôt TEX pour achalander les grandes surfaces en vêtements.
C’est aussi moi qui ai financé les premières usines de baskets (en Indonésie, où j’avais déjà des fabriques de meubles pour mes magasins de meubles comme PIer Import)et ce alors que personne ne savait ce que c’était une chaussure de sport en plastique (à part les nouilles), les inventeurs s’étant cassé le nez un peu partout dans le monde sans trouver d’autre investisseur que moi.
NIKE, et les magasins FOOTLOCKER, les marques NEW BALANCE n’auraient pas pu exister sans que je me lance avec eux dans le marketing et le financement des baskets!
Remplir les hypermarchés
Les acteurs de la grande distribution
nous confient plusieurs missions pour les accompagner dans leur croissance en nombre de mètres carrés par magasin et en nombre de magasins:
– recherche de surfaces,
-marque de distributeur,
– soutien au approvisionnements,
– circulation dans les espaces parking et livraisons,
– sécurité,
– paiements.
Création de flottes et de parcs logistiques
Nous soutenons la grande distribution en lui proposant des services de professionnels de la logistique et des quais et entrepots modernes.
Développement et intégration d'entreprises
dans la chaîne d’approvisionnement de Carrefour, Leclerc, pour les hypers et Monoprix, G20, pour les moyennes surfaces. Réorganisation des filière biscuit, glaces, conserves, (nouveaux) packagings et fabricants de contenants en verre. Renforcement de l’offre petit-déjeuner, plats en portion (rayon frais), soupes et snacking.
Dans un premier temps Carrefour fait appel à ma capacité de proposition (problématiques marketing), et me propose en plus d’approvisionner plusieurs rayons (« quincaillerie, ménage, hygiène, jardin, et plus si je peux ») avec l’idée que mes entreprises pourraient développer des produits spécifiques pour leurs magasins. On ne parle pas encore de marque de distributeur mais ça vient par la suite pour l’électroménager. Nous travaillons sur l’organisation des hypers dont la taille ne cesse d’augmenter posant de nouveaux sujets d’innovation technique.
Côté Leclerc ce sont aussi les emplacements favorables que je peux proposer qui les intéressent, ma flotte de camions dont on peut dégager plusieurs dizaines de camions pour leur usage exclusif (sans entretien ni garage) et les quais de déchargement et entrepôts bien placés et à température dirigée d’abord, et très vite nous sommes en discussion pour leur marque de distributeur « marque Repère » (approche marketing et packaging).
Reprise et création d'enseignes de proximité
Avec une plateforme d’approvisionnement numérique extensive pour les petites et moyennes surfaces, de nouveaux utilitaires et camions moins polluants pour les livraisons en ville, mais aussi un management performant… nos enseignes sont taillent une place de choix dans le quotidien des citadins de l’Ile de France.
Du nouveau Concrètement…
C’est une chose d’envisager d’ouvrir des surfaces toujours plus vastes et une autre de remplir les hypermarchés avec des produits pour remplir les caddys!
Sécuriser les approvisionnements des grands distributeurs a signifié concrètement:
- mettre en place un marché national de produits agricoles (MIN Rungis notamment) en parallèle et en cohérence des approvisionnements canalisés par la grande distribution, parfois acheter des terres, du matériel agricole, salarier des fermiers (en nom propre) face à certaines réticences au développement de l’agro-alimentaire.
- moderniser les pratiques des conserveries (comme Bonduelle, William Saurin, Hénaf), des lignes de production (Bonne Maman, Mamie Nova, La Laitière), adapter les fabrications (Herta) et les conditionnements (Kelogg’s, Ducros, beaucoup de marques de biscuits secs et de biscottes), afin de pouvoir servir des dizaines puis des centaines de grands magasins avec des marques de confiance et des produits « nouveauté ».
- adapter les offres de produits aux nouveaux usages et multiplier les rayons des distributeurs au fur et à mesure: plats à emporter en barquette traiteur (rayon frais), plats lyophilisés, bases de préparations (pâtisserie), (hexa)packs de soupe, sauces en bocal, boites de céréales, de biscottes, épices en flacon verre et capuchon plastique…
- mettre au point de nouveaux types d’emballage et adapter la production des matériaux nécessaires à cette explosion de la demande (Président par exemple doit conserver son emballage bois j’achète deux forêts…), il faut différents types de plastique pour toutes les barquettes, mais on garde le visuel sur cartonnade…. J’ai beaucoup travaillé sur les barquettes de produits frais, les Hexapacks et les produits lyophilisés pour l’alimentaire de la grande distribution.
- organiser le travail en fonction des nouvelles machines de manutention (la palette devient standard à ce moment-là), nouvelles caisses (codes barres, scanners, reliées aux terminaux de paiement), des caisses avec des tapis roulants: faire grandir en hauteur la taille des stocks en arrière du magasin et améliorer les process en arrière-boutique pour la fluidité des réapprovisionnements des rayons, augmenter la taille des rayonnages, la taille des machines pour approcher les palettes des rayons à remplir.
- Combien de rayons de biscuits, de produits laitiers, de céréales, de produits d’hygiène, de produits ménagers…? Passé la définition des plans des magasins il faut pouvoir tenir les approvisionnements… nous aidons autant que possible ce nouveau secteur de la distribution à se développer afin de pouvoir envisager sereinement que les habitants de ces villes en expansion puissent se nourrir.
- Chaque enseigne approche mes équipes pour que je valide une ou deux prestations de service auprès d’eux. Régulièrement cela signifie investir pour eux de façon lourde et continue dans la durée. >> Là où ils ont parfois accusé de faire du « growth hacking » je répond qu’on n’a rien sans rien… que personne ne travaille pour rien, n’investi sans chercher à prendre sa part et que je n’ai jamais fait « bénévole » pour la grande distribution!
J’investi le secteur des magasins de proximité…
Là où d’autres changent les codes pour atteindre des surfaces immenses, moi je crois aux magasins de proximité, dans les villes, au pied des immeubles ! Les grands groupes me laissent m’y placer sans soucis car ils visent « plus grand, beaucoup plus grand ».
J’achète des surfaces de vente (immeubles et foncier avec droits de transformer) et en organise beaucoup de nouvelles:
- reprise de plusieurs enseignes pour les moderniser, de ce qu’on renomme les Radars, Coccinelle et Coop de la région parisienne,
- des copains se sont lancés dans une création de chaîne de moyennes surfaces, c’est G20. Je les avais financés au début, et ils voulaient voler de leurs propres ailes et tout faire eux-mêmes… mais ils ne s’en sortaient pas. Ils sont venus me voir pour me demander de l’aide. Comme c’était à priori chronophage, je leur ai dit que je ne faisais pas ça pour rien. Et que, puisque je devais tout reprendre j’allais le faire aussi pour moi et j’ai créé Franprix. On m’a dit par la suite que deux magasins de province s’appelaient déjà Franc-prix, mais en discutant avec le propriétaire il était clair que nos magasins n’avaient rien à voir. Et moi j’ai déposé la marque avec le positionnement commercial très clair et sans rapport. Franprix, et donc G20, c’est une grande aventure aussi bien entrepreneuriale, marketing que de défis techniques. Plusieurs grandes surfaces ont été installées dans des espaces déjà construits (immeubles anciens), reconsolidés, et repensés avec des accès sur rue, sur plusieurs rues. Mais l’autre « innovation » c’est de prévoir dès le début un management standardisé, dont j’ai défini les contours, l’accès à une très vaste plateforme d’approvisionnement informatisée, et la perspective de franchiser une proportion croissante des magasins.
- J’ai créé Lidl sur un projet bi-national, les fournisseurs allemands ne souhaitaient pas investir directement dans la gestion des magasins. Nos équipes souhaitaient transférer à la distribution les méthodes de pilotage issues de la restauration rapide (Mac Donald’s, KFC). Nous avons tenté de former le personnel avec des moyens assistés par ordinateur (EAO et IA) pour les routines de stockage et déstockage, puis de mise en rayon, et enfin d’assistance en caisse. Ce sont ces développements, ceux-là et pas d’autres, qui sont à la base des projets de gestion des ventes en entrepôt d’AMAZON.
Grands ouvrages
Ponts et barrages ont nécessité de développer une expertise particulière, aujourd’hui reconnue dans le monde entier. Nos entreprises se sont séparées en deux groupes : celles qui souhaitaient rester indépendantes et celles qui préféraient être intégrées dans mon capital. A l’intérieur de celles dont tous sont devenus mes salariés, nous avons réorganisé les compétences afin de répondre aux besoins des chantiers de grande ampleur, aux besoins techniques très importants, d’une part, et d’autre part aux besoins des chantiers de construction de ville et de périphérie de villes.
Deux groupes ont ainsi été créés la base d’une grosse centaine d’entreprises : VINCI, pour les chantiers « stratégiques », parfois à l’international, et EIFFAGE en soutien et principalement dédié au national, ensembles et bâtiments techniques.


Nouveaux quartiers
Sollicitée par de nombreuses municipalités grâce au haut niveau d’engagement de nos équipes, nous avons pu répondre à tant d’appels d’offres sur la région parisienne qu’il a fallu établir les cadenciers avec nos fournisseurs de matières premières pour pouvoir répondre à ces dizaines de chantiers et étaler les dates de construction sur environ 30 ans. C’est en bonne entente avec les projets de développement des villes que ce calendrier extensif a été établi, de façon à apporter au bon moment aux villes les structures et les immeubles d’habitation dont ils avaient prévu l’utilité. La coordination avec le développement du réseau RER, ou le renforcement planifié des lignes SNCF est prise en compte dans les projets autour des nouveaux quartiers tels que Nanterre Préfecture (92),ou Eaubonne (95), Coeur Défense (92), etc…

Préservation du patrimoine
Parmi les artisans partenaires, beaucoup sont dédiés à la rénovation. Nous allons ainsi aborder les rénovations dans l’agglomération parisienne avec l’optique de garder le charme de Paris, tout en modernisant, avec le soucis de l’intégration urbaine du paysage. C’est le Maire du 15ème qui me confie d’un seul coup une quinzaine de chantiers sur l’arrondissement.
En parallèle, plusieurs compétences assez remarquables de nos professionnels nous permettent de répondre aux besoins de rénovations d’ampleur et parfois sur des bâtiments classés au Patrimoine National. Je travaille avec le Ministère de la Culture pour envisager des chantiers de plus en plus remarquables, soit par leur ampleur, soit par la technicité nécessaire.

Entreprises
La construction de centres commerciaux moderne a souvent nécessité un fort investissement.
Intégrer le neuf avec l’ancien est un choix et un savoir-faire.
